Rien n’est grave dans les aigus – Michel Legrand
Le livre :
Ces mémoires se déroulent comme un morceau de jazz, dans l’esprit d’une joyeuse improvisation. Le compositeur a livré ses souvenirs à Stéphane Lerouge comme ils venaient et c’est ainsi qu’ils sont transcrits dans le livre. On se promène ainsi dans l’immense carrière de Michel Legrand en passant d’une période à une autre : l’enfance, la guerre, le Conservatoire, la révolution du be-bop, les débuts chez Philips, la Nouvelle Vague, Hollywood… sont évoqués sans ordre chronologique. Une exploration à l’image du grand musicien : libre, éclectique et vivante.
D’anecdotes en secrets de fabrication de ses airs les plus mémorables, les souvenirs de Michel Legrand sont un formidable voyage dans l’univers musical des années 40 à nos jours. Cette autobiographie nous rappelle l’étendue des talents de ce compositeur, également chef d’orchestre, pianiste et interprète.
Concentrée sur un peu plus de 300 pages, la liste des collaborateurs de Michel Legrand est tout simplement impressionnante ! Il a travaillé avec les plus grands noms du blues et du jazz (Miles Davis, Ray Charles, Claude Nougaro, Bill Evans, John Coltrane…) et évidemment avec les plus célèbres réalisateurs pour ses inoubliables musiques de films (Jacques Demy, Jean-Luc Godard, Clint Eastwood, Jean-Paul Rappeneau, Orson Welles…).
Avis :
Que ce soit le souvenir du générique enfantin d’Oum le dauphin, les comédies musicales en collaboration avec Jacques Demy – à Rochefort, Cherbourg ou sous une peau d’âne – ou encore la sublime mélodie des Moulins, en version américaine ou française, les compositions de Michel Legrand sont solidement ancrées dans la mémoire collective.
Variété, jazz, ballet, théâtre, musique de cinéma… Les souvenirs collectés ici prouvent, s’il en était besoin, l’étendue des talents et la curiosité toujours intacte du compositeur.
Round, like a circle in a spiral, like a wheel within a wheel
never ending or beginning, on an ever spinning reel.
Racontées dans un style vivant, les confidences sont tour à tour graves, drôles mais toujours sincères. Plus que jamais actif, Michel Legrand nous donne déjà rendez-vous pour la suite, un second tome pour raconter ce qu’il a oublié de dire, et évidemment les inévitables projets à venir. On les espère nombreux.
Musique :
Les références musicales sont évidemment très nombreuses dans ces mémoires de Michel Legrand. Seuls les morceaux cités de façon explicite (titre et interprète) ont été intégrés à la playlist.
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Playlist :
Les références musicales sont classées selon l’ordre des chapitres du livre.
Pour plus de lisibilité, les albums, films et artistes cités sans morceaux précis sont résumés à la fin de la liste.
- Michel Legrand – Oum le dauphin. Ce titre est le générique de la série télévisée d’animation Oum le dauphin diffusée en 1971 et rediffusée en 1981 en France. Les personnages et le thème du morceau ont ensuite été utilisés dans une série de publicités pour le chocolat blanc Galak.
- Vous oubliez votre cheval et Prenez garde à la baleine sont cités. Enfant, Michel Legrand interprète ces titres en imitant la batterie avec les pieds « et la contrebasse, en tapant sur un lampadaire ».
- Paul Misraki, compositeur de Tiens, tiens, tiens et Qu’est-ce qu’on attend ?, est évoqué.
- Michel Legrand devient l’élève de Lucette Descaves, « grande pianiste et pédagogue ». Filleule de Saint-Saëns, elle a formé plusieurs générations de pianistes : Brigitte Engerer, Bruno Rigutto et Jacques Taddei.
- Michel Legrand joue un « opuscule obscur d’Albéric Magnard » à Tony Aubin, son professeur de composition, pour le « piéger » mais celui-ci identifie tous les morceaux que le jeune Michel interprète.
- Le Concerto en mi d’Igor Stravinsky est évoqué
- Mozart – Cosi fan tutte. Nadia Boulanger montre à Michel Legrand un fac-similé du manuscrit de cette œuvre, en précisant que le célèbre compositeur « a mis dix-sept jours à écrire cet opéra, orchestrations comprises ! »
- Le premier ballet de Michel Legrand, Liliom, est évoqué.
- Frédéric Chopin – Étude op.10 no.3 « Tristesse » (1832)
- Le standard de jazz Saint Louis Blues, popularisé notamment par Louis Armstrong, est évoqué.
- Ray Charles – Love makes the changes et Georgia on my mind.
Love makes the changes est composé par Michel Legrand, il s’agit du générique de fin de son unique film en tant que réalisateur Cinq jours en juin (1989) qui relate son enfance. - Lennie Niehaus Quintet feat. Stan Kenton – Poinciana (1956).
- La première œuvre déposée à la Sacem par Michel Legrand est le titre Il y a des filles.
- Gioachino Rossini – Barbier de Séville (1816). Les premières mesures de l’ouverture de cet opéra sont évoquées.
- Colette Renard – Avec les anges (1956). Ce titre, « l’une des plus belles chansons au monde » selon Michel Legrand, figure dans la comédie musicale de Marguerite Monnot Irma la douce dont les orchestrations ont été écrites par Michel et son père Raymond.
- Armand Mestral – Mississipi. Il s’agit de la version française du titre Old Man River, tiré de la comédie musicale Show Boat (1927).
- Jacqueline François – Mademoiselle de Paris (1948)
- Catherine Sauvage – L’Homme (1954). Il s’agit d’une chanson de Léo Ferré.
- Henri Salvador – Maladie d’amour (1947)
- Charles Trenet – Que reste-t-il de nos amours ? (1942)
- Cole Porter – I Love Paris (1953)
- Michel Legrand et son orchestre – Les Feuilles mortes, Sous les Ponts de Paris, Paris, je t’aime et Moulin-Rouge (I Love Paris, 1954). L’album est réenregistré en 1961 en son stéréophonique sous le nom The New I Love Paris.
- Michel Legrand et son orchestre – Le Beau Danube bleu (Vienna Holiday, 1956)
- Le titre La danse du baiser est cité.
- Renée Lebas – La valse des lilas (1955). Ce titre, également enregistré par Catherine Sauvage et Jacqueline François en France, arrive aux oreilles du parolier nord-américain Johnny Mercer, auteur de Come rain or come shine et de One for my baby et devient Once upon a summertime. Il va être interprété notamment par Blossom Dearie, Tony Bennet, Sarah Vaughan ou encore Astrud Gilberto.
- Catherine Sauvage – Grand-papa laboureur (1957). Il s’agit de la première chanson composée par André Popp chez Philipps, l’orchestre a été dirigé par Michel Legrand.
- Jacques Brel – La Valse à mille temps et Ne me quitte pas (La Valse à mille temps, 1959)
- Maurice Chevalier – Dans la vie faut pas s’en faire, Ah, si vous connaissiez ma poule, Ma pomme, Valentine et Prosper yop la boum.
- Michel Legrand – Delirium tremens, Debout les morts et Trombone à tout faire (A l’Alhambra, 1956)
- Magali Noël – Alhambra rock (1956). Cette chanson dont le texte est signé Boris Vian fait référence à Michel Legrand : « J’t’ai rencontré à l’Alhambra / Michel Legrand jouait ce soir-là / La salle entière tremblait de joie »
- Frankie Laine – Jezebel (1951) et The Ballad of High Noon « Do Not Forsake Me, O My Darlin » (1952). Ce dernier titre a été utilisé dans la bande originale du film Le train sifflera trois fois (High Noon) (1952).
- Bill Haley and his Comets – Rock around the clock (Shake Rattle and Roll, 1955)
- Igor Stravinsky – L’Oiseau de feu (1909-1910)
- Henri Salvador – Va t’faire cuire un œuf man, Dis-moi que tu m’aimes rock, Rock and roll mops… (1956). Michel Legrand et Boris Vian sont chargés d’écrire des chansons rock pour Henri Salvador, une commande prise peu au sérieux comme en témoigne les titres de morceaux, enregistrés sous les pseudonymes de Henry Cording pour Henri Salvador, Vernon Sinclair pour Vian et Mike Bike pour Legrand.
- Franz Reizenstein – Concerto Popolare – A Piano Concerto to end all Piano Concertos (Le Concerto de piano pour en finir avec tous les concertos de piano). Ce titre parodique a été joué au festival de Gerard Hoffnung en 1956.
- Michel Legrand – Di-gue-ding ding (Archi-cordes, 1964). Ce titre, écrit à la base comme une parodie, sera intégré 30 ans plus tard (en 1995) sur une compilation branchée et trouve un second souffle. Il sera utilisé dans la bande annonce du film Arrête-moi si tu peux (Cath Me If You Can) (2002) de Steven Spielberg.
- Dario Moreno – C’est magnifique (1955). Les arrangements de ce titre sont de Michel Legrand.
- George Gershwin – Rhapsody in blue (1923) est cité.
- Michel Legrand – Épisode pour flûte, Sur un archet persan et Idylle pour basson et flûte. Composés pour l’émission de radio mensuelle Jeux d’orchestre.
- L’opéra Parsifal de Richer Wagner est évoqué.
- Chanson de Maxence (Bande originale du film Les Demoiselles de Rochefort de Jacques Demy, 1967)
- Les titres Oop-pop-a-da (1948) de Dizzy Gillespie et Two bass hit (1958) de Miles Davis sont cités.
- Michel Legrand – ‘Round midnight, Nuages, A night in Tunisia, Django, Rosetta et The Jitterbug waltz (Legrand Jazz, 1959). Cet album réunit trois séances d’enregistrement réalisées en juin 1958 à New York avec plusieurs des meilleurs musiciens du moment, dont notamment Miles Davis, John Coltrane, Bill Evans, Ben Webster et Donald Byrd.
- Bill Evans – The Other Side of Midnight (Noelle’s theme) (Affinity, 1979). Il s’agit d’une reprise du titre composé par Michel Legrand pour le mélo De l’autre côté de minuit (The Other Side of Midnight) (1977) de Charles Jarrott.
- Bill Evans – You Must Believe in Spring (You Must Believe in Spring, album enregistré en 1977 mais publié en 1981 à titre posthume). Il s’agit de la version américaine d’une chanson de la BO du film Les Demoiselles de Rochefort.
- Michel Legrand – Dingo lament (Big Bang, 1999)
- Miles Davis – Once upon a summertime (Quiet Nights, 1963). Ce titre et You Must Believe in Spring de Bill Evans cité plus haut, sont les deux relectures jazz préférées de Michel Legrand.
- Sans toi, La Joueuse et La Menteuse (Bande originale du film Cléo de 5 à 7 d’Agnès Varda, 1962). Michel Legrand joue le rôle d’un compositeur dans ce film.
- Le thème du film Les Vieux de la vieille (1960) de Gilles Grangier composé par Francis Lemarque est évoqué.
- Les titres composés par Jean Constantin : Mon manège à moi, Mon truc en plumes et Fleur de papillon sont évoqués.
- Michel Legrand a orchestré certains passages du film Les quatre cents coups (1959) de François Truffaut (dont le générique de début) pour aider Jean Constantin le compositeur de la bande originale.
- Johann Sebastian Bach – Clavier bien tempéré (1722 – 1744)
- Ludwig van Beethoven – Symphonie nº 7 en la majeur, op. 92 (1811 – 1812)
- Les titres I will wait for you et Watch what happens sont évoqués. Il s’agit de deux adaptations des titres La Gare et Récit de Cassard du film de Jacques Demy Les Parapluies de Cherbourg (1964). I will wait for you a notamment été repris par Andy Williams, Tony Bennett, Liza Minnelli, Oscar Peterson, Gil Evans, Astrud Gilberto, Louis Armstrong et Frank Sinatra.
- Michel Legrand – Chanson de Solange, Chanson de Simon et Chanson d’Yvonne (Bande originale du film Les Demoiselles de Rochefort, 1967)
- Les titres Over the Rainbow (1939) et Lullaby of birdland (1952) sont évoqués.
- Michel Legrand – Recette pour un cake d’amour, Conseils de la fée des lilas, Les insultes, Amour, amour et Rêves secrets. Ces titres ont été composés pour le film Peau d’âne (1970) de Jacques Demy.
- Mireille Mathieu – générique du film L’évènement le plus important depuis que l’homme a marché sur la Lune (1973) de Jacques Demy composé par Michel Legrand est évoqué.
- Michel Legrand – Entre vous deux, Simplement et Eurydice. Ces titres ont été composés pour le film Parking (1985) de Jacques Demy. Lors de la post production, le réalisateur décide de faire réenregistrer les chansons par Francis Huster, l’acteur principal du film, à la place de l’interprète Daniel Levi, ce qui, pour Michel Legrand, constitue une « erreur fatale ».
- Michel Legrand – L’Interview et Quand on revient. Ces deux titres sont sur le bande originale du film Trois places pour le 26 (1988), le dernier film de Jacques Demy.
- Serguei Rachmaninov – Concerto pour piano N°2 (1900 – 1901)
- Michel Legrand – Les Moulins de mon cœur et sa version américaine par Noel Harrison – The Windmills of your mind composée pour le film L’affaire Thomas Crown (The Thomas Crown Affair) réalisé par Norman Jewison en 1968. Le titre a remporté l’Oscar de la meilleure chanson et a été repris par de très nombreux artistes dont Petula Clarck, Dusty Springfield, Grady Tate…
- Audrey Hepburn – Moon river. Titre composé par Henry Mancini pour le film Diamants sur canapé (Breakfast at Tiffany’s) (1961) de Blake Edwards.
- Ray Charles – In The Heat Of The Night. Il s’agit de la chanson titre du film Dans la chaleur de la nuit (In the Heat of the Night) (1967) réalisé par Norman Jewison. Le titre a été composé par Quincy Jones.
- Ray Charles – I Got a Woman (1954)
- Michel Legrand feat. Sarah Vaughan – His eyes, her eyes. Un autre morceau de la bande originale du film L’affaire Thomas Crown (1968).
- Michel Legrand – What are you doing the rest of your life ? Il s’agit d’un titre de la bande originale du film The Happy Ending (1969) de Richard Brooks. Le titre a été notamment repris par Sarah Vaughan et Barbara Streisand.
- Natalie Dessay – Mon dernier concert (Entre elle et lui, 2013). Ce titre composé par Michel Legrand est basé sur un poème de Claude Nougaro.
- Claude Nougaro – Le Cinéma, Serge et Nathalie, Tiens-toi bien à mon cœur, Tango des jumeaux, Le Ratacalypsos, Les Don Juan, Le Rouge et le Noir, La Chanson, Le Jazz et la Java, Une petite fille et Mal court. Claude Nougaro fut un des collaborateurs de Michel Legrand, le titre Le cinéma est l’un des fruits de leur rencontre.
- Michel Legrand – Alcatraz (Archi-cordes, 1964)
- L’opéra Lakmé (1883) de Léo Delibes est évoqué.
- L’Amour en scie, Quand ça balance, Marion ne m’aimait pas, Qui es-tu ? et Celui-là (Michel Legrand chante et s’accompagne, 1964)
- Michel Legrand – Tendre voyou. Titre composé pour le film Tendre Voyou de Jean Becker (1966).
- Michel Legrand – Un parfum de fin du monde. Ce titre a été composé pour le film Les Uns et les autres (1981) de Claude Lelouch.
- Michel Legrand et Nana Mouskouri – Quand on s’aime (1965)
- Les enfants qui pleurent, Trombone, guitare et compagnie, La Nouvelle-Orléans et Elle a… elle a pas (Sérénades du XXème siècle, 1965)
- Michel Legrand – Et la mer et Pourquoi (Les Moulins de mon coeur, 1987)
- Serge Reggiani – Comme elle est longue à mourir ma jeunesse (1971), Edith, Le Vieux Costume et Rupture.
- Michel Legrand – Dis-moi (Bande originale du film Un peu de soleil dans l’eau froide (1971) de Jacques Deray). Les paroles de ce titre sont de Françoise Sagan.
- Michel Legrand – La partie de tennis (1964)
- Michel Legrand – Brian’s song (Brian’s song, 1970)
- Les titres Marjolaine et Quand un soldat. composés par Francis Lemarque sont cités.
- Igor Stravinski – Le sacre du printemps (1911 – 1913)
- Wolfgang Amadeus Mozart – 2ème mouvement du Concerto pour flûte et harpe en ut majeur K. 299 (1778). Michel Legrand vénère ce morceau, l’une « des plus fascinantes pièces de l’histoire de la musique » selon lui.
- Catherine Michel – The Man I love et ‘Round midnight.
- Autres albums évoqués dans le livre, par ordre d’apparition :
- Communications ’72 marquant la rencontre de Michel Legrand et de Stan Getz, joueur de sax ténor, Life Cycle of a Woman de Michel Legrand et Natalie Dessay, Castles in Spain (1956), Holiday in Rome (1955), Legrand in Rio (1958), Reunion in rhythm (1959) de Frankie Laine with Michel Legrand and his orchestra, Trio 64 (1964) et Conversations with myself (1963) de Bill Evans, Miles ahead (1957), Porgy and Bess (1959), Sketches of Spain (1960) et Tutu (1986) de Miles Davis et Michel Legrand at Shelly’s Manne-Hole (1968).
- Autres films cités dans le livre pour lesquels Michel Legrand a réalisé la bande originale, par ordre d’apparition :
- Mademoiselle Swing (1942) de Richard Pottier, Partir, revenir (1985) de Claude Lelouch, Les Feux de la Chandeleur (1972) de Serge Kober, La vieille Fille (1972) de Jean-Pierre Blanc, La vie de château (1966) de Jean-Paul Rappeneau, Un été 42 (Summer of ’42) de Robert Mulligan, Envoi de fleurs (1950) de Jean Stelli (en collaboration avec son père), L’Amérique insolite (1960) de François Reichenbach, Les Amants du Tage d’Henri Verneuil (1955), Le Triporteur (1957) de Jacques Pinoteau, Razzia sur la chnouf (1955) d’Henri Decoin, Rafles sur la ville (1958) de Pierre Chenal, Le joli mai (1963) de Chris Marker, Le cave se rebiffe (1961), Le Gentleman d’Epsom (1962) et Maigret voit rouge (1963) de Gilles Grangier, Terrain vague (1960) de Marcel Carné, Vivre sa vie: Film en douze tableaux (1962) de Jean-Luc Godard, La baie des anges (1963) de Jacques Demy, Les portes claquent (1960) de Michel Fermaud et Jacques Poitrenaud, Les mariés de l’an deux (1971) de Jean-Paul Rappeneau, Les Trois Mousquetaires (1973) de Richard Lester, Amant de novembre (Sweet November) (1968) de Robert Ellis Miller, Destination Zebra, station polaire (Ice Station Zebra) (1968) de John Sturges, Un château en enfer (1969) de Sydney Pollack, Le Messager (The Go-Between) (1970) de Joseph Losey, The Pickle (1993) de Paul Mazursky, La ville-bidon de Jacques Baratier (1971), La Piscine de Jacques Deray, Quand passent les faisans (1965) d’Édouard Molinaro, Le Mans (1971) de Lee H. Katzin, Le Chasseur (1980) (The Hunter) de Buzz Kulik, Max Rose (2013) de Daniel Noah, Yentl (1983) de Barbara Streisand, Jamais plus jamais (Never Say Never Again) (1983) d’Irvin Kershner.
- Les autres artistes cités dans le livre, par ordre d’apparition : Yves Montand, le violoniste Ivry Gitlis, Ray Ventura, Oum Kalsoum, Mireille, Jean Sablon, Tino Rossi, Franz Schubert, Irène de Trébert, Henri Dutilleux, Raoul Gola, Aaron Copland, Jacques Ibert, Jean Françaix, Gabriel Fauré, Claude Debussy, Maurice Ravel, Prokokiev, le triumvirat de compositeurs Berg-Webern-Schönberg, Olivier Messiaen, Duke Ellington, Gene Kelly, Henri Bourtayre, Jean-Pierre Boutraye, Ernie Royal, Edith Piaf, Robert Lamoureux, Georges Brassens, Félix Leclerc, Serge Gainsbourg, Raymond Devos, Guy Béart, Barbara, Juliette Gréco, Zizi Jeanmaire, Mouloudji, Philippe Clay, Manny Albam, Billie Holiday, Fats Waller, Charlie « Bird » Parker, Elvis Presley, Johnny Hallyday, Chet Baker, Bartok, le trompettiste Maynard Ferguson, Oscar Peterson, Ella Fitzgerald, Erik Satie, The Platters, Donovan, Lalo Schifrin, John Williams, Saul Chaplin, André Prévin, Pearl Kaufman, Count Basie, Bessie Smith, Mouloudji, Serge Lama, Ferrat, Tino Rossi, Claude François, Jacques Dutronc, Placido Domingo, Sting, Jessye Norman, Haendel, Toots Thielemans et Judy Garland.
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Rien n’est grave dans les aigus est paru en octobre 2013 aux éditions Cherche-midi.
Marco
Rédacteur
Chroniqueur pour Shut Up and Play The Books ! et Citazine (cinéma), je peux également faire des sites Internet sur Wordpress et du community management. Intérêts : Orson Welles, médias, cinéma, #moviequotes, loutres et plus si affinités.
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